• Histoire de sorcière.

    Chapitre 1

     

     

    Je contemplais cette vaste étendue sombre et brumeuse qui avait été mon horizon durant toute ses années. Ce lac était séparée par seulement 894 m de forêt de la fenêtre de ma chambre. Je le savais car, Clair et moi, nous avions mesurée la distance avec nos règle d'écolière. Sur le coup nous n'avions pas pensé au temps que cela nous prendrai mais plutôt au moment que nous passerions ensemble. Ce sont ces souvenirs là que j'aimerais gardé.

    Oui, je crois bien que je préférerais oublié tout ses démons qui viennent me hanter même si je sais que quelque part, ils ont contribué à faire de moi ce que je suis.

    Si toutes les mauvaises choses que j'aurais vécue ne seraient que de simple cauchemar, ma vie aurait sûrement des allures de contes de fée.

    Mes parents seraient peut-être toujours de ce monde, mon frère ne serait pas obliger de jouer les tuteurs pour se faire pardonner de ne pas voir été là quand ils ont rendu l'âme, je ne me serais pas autant éloigner de Clair et j'aurais, je pense évitée tout les ennuie que je m’apprête à causer. Mais je ne peux pas m'en empêcher, c'est sûrement une façon d'attirer l'attention d'un grand frère trop occuper par sa petite amie pour se préoccupée de sa petite sœur.

    Je n'ai donc pas regretté quand je suis passé par la fenêtre de ma chambre et que je suis monté dans la voiture Vicky. Elle était habillé d'une robe à paillette noir qui lui arrivait exactement à la fin de ses fesses. Le fait qu'elle soit assise raccourcissait sa robe, du moins c'est ce que j'ai essayé de me mettre dans la tête pour ne pas m'enfuir de cette voiture à toute jambes. Elle portait des talons qui, à en juger l’aiguille de 10 cm sur laquelle reposait son pied, pourraient très bien être considérés comme étant une arme. Sophistiquer, je vous l'accorde, mais capable de vous embrocher au moindre coup de pieds. Elle avait remplacée son éternelle queue de cheval en un chignon qui lui faisait gagné quelques centimètres. Son maquillage était bien trop forcé pour paraître naturelle, ses yeux badigeonnés de noir contrastaient avec son teint de poupée en porcelaine et ses cheveux blond.

    Elle avait l'air tout droit sortie d'un film gothique dont elle serait l’héroïne tandis que moi je serait une simple figurante négligée.

    Je n'avait pas fait d'effort pour cette fête mais visiblement j'aurais dû. Avec ma robe noir simple qui s'arrête au milieu de mes cuisse, mes converses basse noir et mes cheveux détachés j'avais plutôt l'air de me rendre au lycée.

    J'ai poussé un long soupir et j'ai mis le volume de la radio à fond pour ne pas être confrontée à mes pensées. Vicky a changer de station et a opté pour du rock. Nous faisions souvent ça. Je commençais quelque chose et elle le terminais. C'est comme un réflexe, nous avions passé tellement de temps ensemble ces deux dernières années que notre cerveaux avait enregistrée chacun de nos gestes. Notre amitié était née de mes souffrances, quand mes parents venaient de mourir et que mon comportement avait changé, Gabriel, mon frère m'avait envoyée chez le psy. Et j'y avais rencontré Vick. Elle n'avait pas de problème mais sa mère était le docteur Martins. Vicky avait un don inouï pour avoir des problèmes et sa mère l'emmenais au travail pour éviter de nouvelles représailles. Le docteur Martins savait régler les problèmes des ados en difficultés mais n'avait jamais réussi à résoudre celui de sa fille.

    Son amitié est la seule bonne chose qui est ressortie de ce cauchemar qu'est devenue ma vie.

    Sous la lumière pâle de la nuit je croise le regard de Vick et je vois ses lèvres bouger, je baisse le volume et je m'efforce de ne pas rire à la grimace qu'elle fait.

    • Sa va être super ! elle crie.

    • C'est clair, je réplique sans faire attention à sa remarque.

    • Tu n'en ai pas convaincu, elle dit en fronçant les sourcils.

    • Bien-sûre que si.

    Elle me montre mes ongles du doigt, ils sont rongée malgré le vernis noir. C'est une vilaine habitude qui agace Vicky mais dont je n'arrive pas à me défaire. Quand je suis stressé, que je mens ou que je suis tracassé par quelque chose mes ongles se retrouvent dans ma bouche, heureusement que seul Vicky a su me démasquée. Je dois dire que c'est la seul personne qui s'intéresse à moi.

    • Le vernis, sa sert à rien, je grogne en mettant mes mains sous mes cuisse.

    • Faudrait te couper les doigts. Non même avec sa, je suis sure que tu rongerais mes ongles à la place, elle ricane en se garant dans une ruelle sombre.

    Je descends de la voiture et je la contourne. Elle me prend par la main et me fait entrer par une porte, qui ne ressemble pas du tout à l'entrée du boîte de nuit branché. nous traversons un long couloir, les néons accrochés au plafond projette nos ombres sur les murs étroits et la musique étouffé par les murs devient plus forte au fur et à mesure de nos pas. Des miroirs ornes les murs et Vicky s'arrête devant l'un deux pour vérifier son maquillage. Elle en profite pour appliquer du crayon noir sur mes yeux, du fond de teint à paillette sur ma peau bronzer et me mettre du gloss rose clair avec une odeur écœurante de framboise.

    • C'est beaucoup mieux.

    Je regarde mon reflet sans me reconnaître. Mes yeux bleu au reflet vert ressorte magnifiquement grâce au crayon que Vick à appliquer sur mes yeux. Le gloss ainsi que le fond de teint me donne un air d'actrice.

    • Alors ? elle me demande en attachant mes cheveux en un chignon savamment négligé en laissant un de mes mèche brunes pendre.

    • Alors ? je ricane.

    • Ouais, qu'est ce que tu en dit ? elle réponds en souriant devant son chef d’œuvre.

    • J'en dis qu'il me faudra une bonne bouteille de démaquillant avant de rentrée à la maison, je rigole.

    Elle sourie et me tire par le bras pressé d'entrée. Devant la porte à battant au allure d'issue de secours elle vérifie ses cheveux d'un blond si pâle sous les néon qu'il en paraît blanc et en jugeant sa coiffure présentable elle pousse le battant.

    Nous sommes entrée dans un autre monde. La musique était si forte que le sol tremblait sous mes pas, une odeur légère de sueur, d'alcool et de parfums synthétique saturait l'air et la lumière suivait le tempo de la musique. mes yeux ont mis un certain temps à s'habituer à l'obscurité. J'ai serré la main de Vick et je l'ai suivis en priant pour ne pas me perdre dans cette foule. Ce labyrinthe aura raison de moi si jamais je relâche la pression sur les doigts de mon amie. Vick s'est arrêté devant des escaliers et je l'ai vu se pencher pour chuchoter à l'oreille d'un homme qui devait avoir la vingtaine et dont le t-shirt noir qu'il portait moulait ses muscles. Il s'est écartée des marches et a rétracté un ruban rouge sur lequel trônait une pancarte avec les lettres V I P. Vick l'a récompensé de son plus beau sourire et nous sommes monté.

    • Tu m'épatera toujours, comment tu as fait ? je demande en m'asseyant sur le banc demi-circulaire autour d'une table.

    • Le secret c'est que quand tu te penche pour lui parler, tu regarde en même tant la liste des invités, elle déclare en haussant les épaule comme si c'était ce qu'il y a de plus normale au monde.

    Je jette un coup d’œil au mec de la sécurité et je le voie refuser l'accès à deux femmes. Sûrement celle dont nous avons empruntée l’identité pour la soirée.

    Vick se lève pour nous commander à boire et j'en profite pour vérifier mes appels. Gabriel m'a appelé 24 fois et il a sûrement saturé ma boîte vocale, et peut-être même qu'il s'inquiète pour moi.

    • Tu devrais arrêter de le faire souffrir autant, je suis sure qu'il regrette tu sais.

    J'ai sursauter en entendant la voie de Vick, elle sait assise et a déposé deux bouteille de soda. Nous faisions des histoires mais, Vicky et moi, nous étions jurer de ne pas boire, de ne pas nous droguer ni de coucher avec le premier venue pour attirer l'attention.

    • Non, ce n'est pas assez, il a préférer sa petite amie ! Et puis je ne veux pas en parler, j'ai déclarer en croisant les bras.

    • Comme tu voudras, elle soupire.

    Je me lève et je me dirige vers la rambarde. Le carré VIP domine tout l'espace de danse et il n'est pas aussi remplis que le rez de chaussé. En voyant tout ses corps pressé les uns contre les autres je remercie silencieusement Vicky d'être une manipulatrice hors paire. Le DJ se trouve sur une plate-forme sur élevée et diffuse de la musique à un volume qui devrait tous nous rendre sourd, l'éclairage vu d'ici est aveuglant et les danseurs sont recouvert d'une lumière verte malsaine. Le bar est remplie et les barman se presse de chaque côté du comptoir, certains pour nettoyer après des consommateurs et d'autres pour servir les plus pressé. Je pense que si nous aurions dû rester en bas, je n'aurais pas supporter la chaleur et je me serais précipitée au toilette sûrement répugnant de la discothèque.

    Vicky me rejoins et parcours des yeux la foule à nos pieds.

    • Là, elle commence en pointant une fille au allure de bohème, c'est Clara. Elle ferait tout pour être à notre place et ne te fis pas à son look de pauvre, elle organise les meilleur fête de l'univers.

    J'avais presque oublier qu'elle voulait me présenter des amis pour compléter mon répertoire. C'est vrai que les seul numéro de mon téléphone sont celui de Vicky, de Gabriel, de Gwenn ( la petite amie de Gabriel) ainsi que celui du docteur Martins. Étant donner que je ne supprime le numéro de Gabriel et de Gwenaël parce que mon grand frère se débrouille toujours pour les remettre, ma condition sociale n'est pas au plus haut de sa forme alors Vick, convaincu que je suis une personne recommandable, joue les bénévoles pour me montrer à qu'elle point elle tiens à moi.

    • Tu n'as pas besoin de faire ça.

    • J'en ai envie, elle réplique en haussant les épaules avec un sourire qui me force à l'écouter. Lui c'est Dany, elle désigne un garçon blond légèrement muscler avec sa langue fourrer dans la bouche d'une fille, je fais une grimace qui lui arrache un petit rire et elle continue, c'est un beau parleur mais c'est surtout un con alors ne fait pas attention à lui si il te parle. Et elle, elle soupir en montrant du doigts une brune avec de longue jambes au centre de la piste, c'est Léa, ne la fâche surtout pas, elle peux faire de toi ce qu'elle veux.

    • OK, Dany est un pote c'est tout, Clara une amie à coup sûre et Léa une bonne connaissance sans plus, je déclare sans respirer et en montrant chaque personne.

    • Vingt sur vingt, tu es prête pour la fausse au lion.

    • Qui d'autre ? je demande.

    • Les autres ne sont pas encore arriver et les reste ne vaut pas la peine.

    Je hoche la tête et je suis Vicky sur la piste de danse. Apparemment le carré VIP ne dispose pas de piste privée, je vais donc devoir danser au milieu de personne que je ne connais pas.

    Nous nous plaçons au milieu de la piste et Vicky appelle Dany, Clara et Léa pour qu'ils viennent danser avec nous. Je m'habitue vite à la chaleur pesante et à l'odeur de transpiration et bientôt je danse au rythme de la musique. Vick me sourie, satisfaite de me voir m'amuser. Je rigole au blague de Dany et je chante affreusement faux avec Clara. Léa ramène deux garçons que Vick se m'a pas présenté, ils ne valent sûrement pas que mon amie m'en parle. Nous continuons de danser, un des deux garçons se colle à Vick et elle ne refuse pas l'offre. Je sais que ce n'est qu'un jeu pour elle mais lui ne semble pas s'en apercevoir. Voyant mon amie, je décide moi aussi de m'amuser à fond. Je me colle au deuxième garçon et je suis le rythme de la musique. Il pose ses mains sur mes hanches d'un gestes qui se veux discret et je suis prise d'un léger fou rire en voyant la vitesse à laquelle il tombe dans mon piège. La soirée s'annonce super. Mon téléphone sonne et je voie le prénom de mon frère s'afficher. Je montre l'écran à Vick et elle me jette un regard plein de regret en secouant la tête. Je souris et je répond à l'appelle. Je ne compte pas lui parler mais lui montrer qu'il n'a aucun pouvoir sur moi et que même si je suis sous sa garde, je fais se que je veux.

    • Oui ? je demande de ma plus belle voie.

    • Tanna ! il crie avec un soupçon de soulagement. Où es-tu ?! Non, mais t'es devenue complètement folle ! il continue sans attendre ma réponse. Rentre tout de suite à la maison !

    • Sinon quoi ? je demande en rigolant.

    • Quand vas-tu arrêter ?! il demande sans répondre à ma question. J'ai compris et je regrette, mais ce que tu fais est injuste ! Ma vie est déjà un enfer alors arrête !

    • Si tu croît que ta vie est un enfer c'est que tu n'as pas assez souffert, je déclare en raccrochant.

    Je range mon téléphone dans mon sac et je continue de danser comme si de rien était. La musique n'en finit pas et j'ai bientôt trop mal au jambe pour tenir debout, je monte à l'étage suivit de Vicky, de Dany, de Clara et de Léa. Nous avons abandonné les deux garçons car ils commençaient à devenir trop collant. Je me met au bord de la rambarde et je regarde comment chacun danse sur le rythme de la musique. Je me rassois et je discute de tout et n'importe quoi avec Vicky. Elle ne me reproche pas d'avoir raccrocher au nez de mon frère et je l'a remercie secrètement pour ça.

    • Tu vis seulement avec ton frère ? me demande Clara

    • Oui.

    • Cool ! déclare Dany.

    • Pas dans son cas, ajoute Vicky. Elle le déteste, lui et sa petite amie.

    Je hoche la tête et je sourie à Vicky. La musique s'arrête d'un coup et je me lève pour voir se qu'il se passe. En bas tout le monde a arrêté de dansé et la lumière verte à laisser la place à une lumière blanche qui donne à la piste de danse un air irréel. Vicky me rejoins et regarde la piste.

    • Qu'est ce qui se passe en bas ? je lui demande.

    • Rien.

    • Rien !? rigole Léa et voyant mon air interrogative elle poursuit. C'est Matt et sa bande.

    Je regarde Vick, elle rougit et ses yeux sont brillant. C'est la première fois que je la voie dans cette états.

    • Vicky est sortie avec Matt un certain temps, mais bon, les garçons comme lui ne sont pas très fidèle, déclare Léa en partant.

    Je me sens trahie par Vicky mais ce sentiments est très vite remplacer par la souffrance que ressens mon amie.

    • Désolé de ne pas te l'avoir dit.

    • Si tu ne me l'as pas dit c'est qu'il n'en vaut pas la peine, je réplique en souriant.

    Je regarde en bas et je vois un premier garçon entré. Il est plutôt grand. Ses cheveux bruns bouclés s'arrête au milieux de son cou et je distingue ses yeux bruns comme si il était en face de moi. Les trais carré de sa mâchoire et son nez durcisse les trait de son visage.

    • Lui c'est Matt, soupir Vick. Et derrière, elle me dit en montrant du doigts un garçon roux au trait enfantin, c'est Brice. A côté, elle continue en montrant une jeune fille blonde, c'est Oli, la petite sœur de Matt, elle sort avec Dan, le garçon qui à l'air de planer au dessus des nuages et elle, elle déclare en montrant une brune du doigts qui a l'air plus jeune que moi de quelque année, c'est Glimmer la sœur de Dan et la meilleur amie d'Oli.

    • Et lui, je dis en désignant un garçon rester en retrait mais qui suis le sillage des autres, il a des yeux d'un bruns doré qui se reflète à la lumière, ses cheveux noir était coiffée à la va vite, qui est-ce ?

    • Angel, et ne fait pas se regard de fille amoureuse, il n'a jamais eu de petite-amie, enfin pas de la boîte et il fait partie de la bande de Matt. J'ai déjà fait l'erreur de tomber amoureuse de l'un deux et pour ton bien je te recommande de ne même pas leur parler.

    • Merci du conseil, tu viens on va danser, je déclare en lui prenant la main.

    Elle me suis docilement jusqu'à la piste de danse. Le couloir qu'avait tracé Matt est toujours présent et j'en profite pour l’emprunter. Je tourne et je sautille en faisant des grimaces pour faire rire Vick.

    • Je remercie le ciel tout les jours de t'avoir rencontré, elle crie pour se faire entendre par dessus la musique.

    • Rare sont les personnes qui ne même pas, enfin si on ne compte pas toutes les personnes qui me connaissent, je dis en faisant une révérence théâtrale.

    Elle rigole et tourne avec moi au son de la musique. Nous nous plaçons au centre de la piste et nous dansons comme des folles. J'ai l'impression d'être cendrillon et Vicky ma bonne fée. Tout est parfait. Un garçon se colle à moi, je ne l'ai jamais vu mais je ne fait pas attention à lui. J'avance vers Vicky pour me débarrasser de l'étreinte de ce pot de colle mais visiblement il n'est pas décidée à me laisser tranquille. Une main bien trop aventureuse se rapproche dangereusement de mes fesses. Je me retourne ne sursautant et je m'écarte d'un coup.

    • C'est bon, maintenant tu me laisse, je déclare.

    • J'croyais que les filles comme toi c'était fait pour ça, il dit en collant son corps contre le miens. Allez viens, ça va être super, il me chuchote au creux de l'oreille.

    Son haleine dégage une odeur répugnante d'alcool. Je me demande combien de verre il a dû boire pour être aussi toqué. Vicky avait disparue de mon champs de vision et je me retrouvais seul face à ce pervers.

    • Il est hors de question que j'aille où que se soit avec toi, j'ai crié en le repoussant.

    • Allez je suis sûre que tu en a envie, viens, a-t-il dit en me prenant la main.

    • Non !

    J'ai enlevé ma main de son étreinte et il s'est mis à rire. Il m'a attrapé le bras et ma tiré jusqu'à ce que je me retrouve une nouvelle fois collé à lui.

    • Elle t'as dit non ! a déclaré une voix masculine derrière moi.

    J'ai enfin pu m'éloigner et je me suis retournée pour pouvoir apercevoir la personne qui m'était venue en aide. J'ai d'abord vu un t-shirt moulant noir qui laissait deviner un corps légèrement musclé en dessous. Puis mon regard est remonter jusqu'à son visage.

    C'était Angel.

     

    Capitre 2

    Ses sourcils froncé lui donnait un aire de dure à cuir mais les ridules au coins de ses yeux trahissais un visage souriant le reste du temps. Ses yeux bruns regardait derrière moi et je mis du temps à comprendre qu'il regardait le garçon un peux trop collant. Je distinguais à peine ses cheveux noir dans l'obscurité de la salle. Sa mâchoire carré me donnait envie d'effleurer son visage du bout des doigts, et ma bouche menaçait de se poser sur ses lèvres charnue si je fermais les yeux. Tout chez lui me bouleversait. Mon corps fût pris d'un violant frisson qui, heureusement, échappa au regard de l’intéresser. Chaque partie de mon corps désirais le toucher, mon cœur battait si fort qu'il aurait pu l'entendre si la musique n'avait pas été aussi forte. Je ne souhaitait qu'une seule chose, obtenir son amour. J'aurais pu lui dire n'importe quoi pour me faire aimer mais mon amour propre m'en empêchait.

    • De quoi tu te mêles ?! Je suis une grande fille et j'aurais pu gérer toute seule ! je déclare en croisant les bras pour éviter que mes bras tremblent.

    Il pose son regard sur moi. Ses yeux exprime de l'incompréhension. Saleté d'amour propre.

    • Pas de quoi, il répond sèchement. Tu aurais peux-être préférer que je le laisse t'emmener, je suis sûre que tu aurais fais la une des journaux pour enlèvement.

    • Et bien ça ne te regarde pas ! Je suis pas le genre de fille qui a besoin d'aide, et surtout pas l'aide d'un mec que je ne connais pas et qui croît pouvoir jouer les princes charment sur son cheval blanc, je réplique en fronçant les sourcils.

    Il serre les poings et se retourne. Il hésite un instant et tourne sur ses talons pour me faire fasse de nouveaux. Je soutiens son regard bien décidé à ne pas détourner les yeux. Si il croît pouvoir me charmer aussi facilement en jouant au conte de fée il se fourre le doigts dans l’œil, et jusqu'aux cerveau si vous voulez mon avis. Il se rapproche, je ne recule pas pour lui montrer que je ne suis pas faible. Mon menton se retrouve bientôt collé contre son torse. Le monde s'arrête autour de nous, je ne sais pas ce qu'il va faire, je ne peux donc pas me préparer.

    • Tu n'est toujours pas décider à me remercier ? il demande.

    • Et puis quoi encore ? je ricane.

    Il a soupiré et avant que je ne réalise ce qui se passe je me suis retrouvé en travers de son épaule. Sa main posée sur mes fesses.

    • Lâche moi ! j'ai hurlé en lui donnant des coups de poing dans le dos.

    • Pas avant que tu ne m’aie dit merci, il souffle calmement.

    Je regarde autour de moi, personne ne daigne venir m'aider.

    • A l'aide !

    • Personne ne t'aidera.

    Je tape plus fort mais il ne semble pas souffrir. Je voie Vicky avec Matt, ils sont entrain de parler et sont de dos à la scène qui se joue à quelque mètre d'eux.

    • Vick ! Vick ! je crie.

    Elle se retourne en même temps que Matt et elle me voie. Matt se met à rire et je lui montre à qu'elle point mon majeure peut-être beau. J'implore Vick du regard et elle arrive jusqu'à moi en usant de ses coudes ce qui lui attire des insultes diverses.

    • Dis lui de me lâcher, je t'en supplie, je déclare en arrêtant de donner des coups à Angel.

    Elle hoche la tête et se place devant mon agresseur.

    • Laisse là tranquille Angel.

    • Ta copine est une ingrate. Je viens de lui sauver la vie et tant qu'elle ne m'aura pas dit merci je ne la lâcherais pas, il déclare en s'arrêtant.

    • Tu ne m'as pas sauver la vie et je ne te dirais pas merci alors autant oublié notre rencontre ! Maintenant pose moi au sol ! je hurle en lui donnant un coup sur l'arrière de son crâne.

    Sa tête s'est penché d'un coup en avant. Et le rouge m'est monté au joue quand j'ai vu que tout le monde nous regardais. La musique s'est arrêté et j'ai prié pour que la sécurité intervienne.

    • Tu vas le regretter ! il déclare en avançant de plus belle.

    J'ai grogné et je lui ai donné un coup sec dans le dos. Vicky a disparut dans la foule qui s'est formé autour de nous et bientôt plus personnes ne fit attention au spectacle qui se déroulait pourtant devant leur yeux. J'aperçois Clara dans la foule mais elle ne me remarque pas. Angel s'arrête et j'essaie de voir où il m'a emmené mais je ne distingue que son dos. Il me pose enfin allongée sur une surface dur. Je me débat pour redescendre et je hurle de toute mes force mais il me retient fermement. Je découvre avec surprise qu'il m'a posé sur le bar, les barman ne pose aucune question et l'un deux lui tend plusieurs bouteille d'alcool.

    • Calme toi !

    • Tu veux que je me calme ?! je demande ne ricanant. Tu vas voir si je serais calmée une fois que tu m'aura lâcher !

    Il sourie et ouvre les bouteilles.

    • Qu'est ce que tu vas faire ?! je demande inquiète.

    • Visiblement c'est la première fois que tu viens ici alors je vais t'apprendre un truc. Les prétentieuse d'en ton genre on leur réserve une petite surprise.

    Je fronce les sourcils et il me montre une bouteille, je ferme la bouche bien décider à ne boire aucune goûte d'alcool ce soir. Il rigole en voyant ma réaction et commence à verser le contenue d'une des bouteilles sur mon ventre. J'essaie de me relever mais deux barman me retienne contre la table. Je hurle de toute mes forces mais encore une fois en vain.

    • Désolé ! Arrête je t'en supplie ! Merci, merci pour tout à l'heure !

    • Trop tard.

    Il prend une deuxième bouteille et me la vide sur les cheveux en évitant mon visage. Il prend la dernière, en bois une gorgée et déverse le liquide sur ma poitrine. Il ordonne au deux barmans de ma lâcher et je me relève. Je regarde mon corps trempée, je relève la tête et je soutiens son regard. Je sers et dessers les poing convulsivement. Je lève une main bien décidée à effacer le sourire ravie de son visage, et je le gifle.

    • Espèce de Salaud ! j'ai crié en me retournant.

    J’essaie de trouver Vick mais ne la voyant pas je décide de sortir et de rester dehors jusqu'à ce qu'elle arrive. Je traverse facilement car les danseurs de peur d'être mouillé à leur tour me laisse un chemin. J'avance d'un pas ferme et décidé. Je prend la porte par laquelle Vick et moi sommes entré quelque heures plus tôt. Je cligne plusieurs fois des yeux pour pouvoir m'habituer à la lumière trop forte des néons. Je continue d'avancer et je m'arrête devant le miroir où Vick s'était évertué à me rendre présentable. Maintenant j'ai l'air d'un sac à patate oublié trop longtemps au fond des toilettes douteuse d'une station service. L'odeur d'alcool me pique les yeux et me donne envie de vomir. Je sors et en retrouvant l'air frais de la nuit j'ai l'impression que c'est la première fois que je respire. Je me met à marcher et je remercie intérieurement ma garde robe de ne pas contenir de talon haut. Je me sens sale et j'ai froid. L'odeur d'alcool n’échappera pas à Gabriel et même si j'adore lui compliquer la vie, je n'ai pas envie qu'il me reproche une chose que je n'ai pas faite. Je sors de la ruelle sombre où se trouve l'entrée de la boîte de nuit et je m'installe sur un banc. A cette heure de la nuit personne ne se balade dehors et les rue sont sombres et pourrait très bien être un lieu de meurtre pour un film glauque. Je sors mon téléphone et j'appelle Vick. L'appel passe direct sur sa boîte vocale.

     

    Salut, c'est Vick, si je ne vous réponds pas c'est que, 1 la batterie de mon téléphone est morte, 2 vous êtes ma mère, 3 vous vous êtes tromper de numéro.

    Dans les trois cas ne me laisser pas de message sauf si c'est toi Tanna.

     

    • Vick, c'est Tan, je suis dehors, trempé avec de l'alcool alors si tu as ce message rappelle moi, je t’attend dix minutes et après je fais du stop ou je rentre à pied ou un truc du genre qui me permettra de rentrer chez moi. Ne t'inquiète pas si tu ne me trouve pas et rentre, bisous.

    Je ne suis pas sure qu'elle aura le message mais au moins je ne serais pas partis sans l'avoir prévenue. Un frisson m'a parcourue et je me suis rendu compte qu'il faisait froid cette nuit, qu'aucune voiture ne passerais et que j'étais condamné à rentrer chez moi à pied. J'ai attendu encore 7 minutes et je me suis levée, j'ai vérifier que Vick ne sortait pas et j'ai vu une voiture avancez vers moi. J'ai tendu le bras et j'ai levée mon pouce en priant pour ne pas tomber encore une fois sur un malade. La voiture s'est arrêter à mon niveaux et la fenêtre du conducteur s'est abaissé. Je me suis penchée en avant et j'ai reconnue Angel. Il arborait le même sourire que j'avais voulu effacer en le giflant.

    • Quelle heureuse coïncidence, il a déclaré en souriant de plus belle.

    • Tu n'aurais pas croiser Vicky par hasard ? je demande en serrant mes bras autour de ma taille pour me réchauffer.

    • Non, je crois qu'elle est avec Matt.

    J'ai soupiré et je me suis adossé au mur.

    • Si tu veux je peux te raccompagné.

    Je l'ai regardé et j'ai froncé les sourcils.

    • Pour me faire pardonner. C'était peut-être un peu exagérer, il a ajouté.

    • Un peu ? j'ai demandé en haussant un sourcil.

    • Bon d'accord, c'était vraiment exagérer. Aller monte je ne suis pas dangereux tu verras.

    Je me suis approché et j'ai avancé mon visage si prêt que je sentais son souffle me caresser le visage. J'ai frôler de mes doigts sa mâchoire carré et un frisson a parcourue ses bras. Fière de l'effet que lui occasionnait le contact de mes doigts j'ai murmurer au creux de son oreille :

    • C'est peut-être moi qui suis dangereuse.

    Il a avancé son visage plus près et nos nez se sont frôlée. Je me suis écarté d'un coup et j'ai contourné la voiture pour accéder à la portière passager, j'ai ouvert la porte et je suis monté dans la voiture. Angel a démarrée et j'ai soupiré en posant mes doigts contre la grille de chauffage.

    • 263 Forx Way, j'ai déclaré.

    • Quoi ? il a demandé en fronçant les sourcils.

    • J'habite au 263 Forx Way, je répète en souriant.

    • Oui, bien-sûre, ton adresse.

    J'ai hoché la tête et j'ai pressé mes doigts chaud contre mon cou. Le silence de la voiture n'était troublé que part le bruit du moteur. La nuit était noir et j'ai collé mon visage contre la vitre pour voir si la lune éclairait le ciel ce soir. Les étoiles brillaient tellement qu'elles auraient pu éclairé le ciel comme en plein jour si la nature le leurs permettait.

    • Alors comme ça tu t'appelles Tanna.

    J'ai hoché la tête, j'ai enlever ma tête à contrecœur de la vitre et je lui ai fait face.

    • Et toi c'est Angel.

    • Ouais.

    • Je suis désolé de t'avoir giflé, j'ai murmuré.

    • C'est déjà oublier, et puis je l'avais bien chercher.

    J'ai haussé les épaules. Le silence s'est une nouvelle fois installé bien vite troublé par la sonnerie de mon téléphone. Je l'ai sortie et j'ai vu le nom de Vicky sur l'écran. J'ai décroché et j'ai collé le téléphone sur mon oreille.

    • Hum ?

    • Tan, tu es chez toi ?

    • Non, en chemin, j'ai répondu en enroulant une mèche autour de mon doigts avant de la lâcher en me rappelant le liquide qui avait atterrie dessus.

    • A pied ?

    • En voiture, j'ai enchaîné.

    • Auto stop ? elle a demandé en cor plus vite

    • Âme généreuse.

    • Qui ?

    • Angel, j'ai répliquer du tac au tac.

    Elle a marqué une pose le temps que mes paroles atteignent son cerveau. J'avais gagné la partie.

    • Bizarre, a-t-elle soufflé.

    • Bizarre, j'ai répéter en écho.

    • Je te laisse, tu m’appelle demain ?

    • Ouais, j'ai dit avant de raccroché.

    J'ai ranger mon téléphone dans mon sac. Et je me suis tourné vers Angel. J'ai détaillé son visage sans me soucier du fait qu'il pouvait m'apercevoir. Ses yeux doré fixaient la route, ses sourcils froncées indiquaient qu'une chose le préoccupait et il se mordait la lèvre inférieur dans un geste qui , je pense, montrait qu'il réfléchissait. J'aurais aimé lui demander ce qui le tracassait mais je ne trouvais aucune façon de le formuler sans paraître indiscrète. Je n'aimerais pas que quelqu'un trouble le fil de mes pensées alors je ne le ferait pas. Mais lui, il l'avait bien fait quand je regardais par la fenêtre et pour me dire quelque chose d'idiot qui plus est. Ne sois pas méchante, ne le dérange pas, ne le dérange pas, ne le dérange pas ! a crié ma raison.

    • Tu penses à quoi ? j'ai demandé.

    Il a tourné la tête brusquement vers moi, les sourcils froncés. Visiblement il avait oublié ma présence. Je lui ai montré la route du doigts et il a hoché la tête rapidement avant de détourner la tête de mon visage.

    • Hum … rien … je … rien.

    Trop mignon.

    • C'est complètement idiot ! j'ai déclaré indigné.

    • Quoi ? il m'a demandé un soupçon d'agacement dans la voie.

    • Penser sans réellement penser. Sérieux t'as rien à faire de mieux ?

    • Je ne te demande pas ton avis.

    • Et bien je te le donne, faudra faire avec. Tiens, je descend ici, j'ai dit en lui faisant signe d'arrêter la voiture.

    Il a regardé les alentours d'un air incertaine et s'est arrêté en haussant les épaules.

    • Ce n'est pas ici le 263 Forx Way.

    • Je sais, ici c'est le 260 mais mon frère va péter une crise et je peux t'assurer que tu ne voudras pas être celui qui m'a accompagné quand ça arrivera. Ni celui qui m'a aspergé d’alcool d’ailleurs, j'ai ajouté en reniflant une mèche de mes cheveux.

    J'ai ouvert la portière et j'ai respiré une grande goulée d'air frai, j'avais oublié à quel point l'odeur de la nuit ne ressemblait en aucun cas à l'odeur du chauffage mêlée au relents d'alcool de la voiture d'Angel. Je suis passé devant le capot pour atteindre la portière côté conducteur. Je me suis penché par la fenêtre ouverte et, à moitié allongé sur Angel j'ai récupéré mon téléphone. Je me suis relevée et je l'ai regardé dans les yeux.

    • Je pensais que si un autre gars aurait eu la chance de raccompagné une aussi jolie fille que toi, il lui aurait demandé son numéro.

    • Tu pourrais peut-être être ce gars là.

    Il a regardé l'horizon en fronçant une nouvelle fois les sourcils. Il devait penser au chance qu'il avait de rentrer chez lui avec mon numéro. Il a passé une main dans ses cheveux et m'a regardé. Il a inspiré profondément et ma offert un sourire incertain.

    • Tu voudrais bien me donner ton numéro ?

    J'ai attendue quelque seconde en faignant de réfléchir même si ma décision était déjà prise.

    • Dis le mec qui m'a verser 3 bouteilles d'alcool sur le ventre, d'ailleurs tu sais que cette robe m'a coûter une fortune. Mais je te propose un marché, si le destin fait que nous nous recroisons un jour par hasard je te donnerais mon numéro.

    Il a hoché la tête et je me suis retourné. J'ai avancé jusqu'à chez moi sans regarder en arrière et j'ai hésiter un instant en voyant la lumière de ma chambre allumé. Mon chère frère savait que j'avais fais le mur ce soir. Je me suis avancée vers la porte et je l'ai ouverte. Je n'avais aucune raison de passé une nouvelle fois par la fenêtre. J'ai gravis les escaliers sans prendre la peine d'enlever mes chaussures et je suis entré dans ma chambre. Gabriel était assis sur mon lit et il contemplais une photo de mes parents, lui et moi quand nous étions heureux. Il s'est levé et a reposer le cadre sur ma table de chevet.

    • Où était tu encore passé ? il a demandé calmement en passant une main dans ses cheveux.

    • En boîte, j'ai déclaré en posant mon sac sur mon bureau.

    • Tu aurais pu me prévenir. Tu as bu ?

    • Cela aurait rendu la chose beaucoup moins amusante, et puis tu ne m'aurais pas laissé sortir. Et non un garçon m'a versé de l'alcool.

    • Si papa était encore là, il aurait déjà mis des barreaux à ta fenêtre.

    Voilà c'était dis. Cette idiot avait abordé le sujet de la mort de nos parents sans s'en rendre compte.

    • Oui mais papa n'est pas là alors lâche moi ! je lui ai dit sèchement en lui indiquant la porte.

    Il a regardé mon doigts et s'est dirigé vers la porte, il s'est attardé quelque seconde devant la porte et s'est de nouveau retourné vers moi.

    • Ah oui … Gwenn va … elle va emménagé ici avec son cousin.

    Je n'était pas sure d'avoir bien entendu et il a répété cette fois avec plus d'assurance. Elle vient vivre ici, elle vient vivre ici, elle vient ici, elle ici, elle ici.

    • Non, elle … elle n'a pas le droit !

    • Si elle là, ça fait 4 ans que je suis avec elle et ferait mieux de t'y habitué.

    • Non ! Y as pas de place pour son cousin de toute façon et puis si elle vient je fugue ! j'ai déclaré en croisant les bras.

    • Tu ne fugueras pas, tu n'en ai pas capable.

    Là il avait raison, j'avais menacé à plusieurs reprise de fuguer et toute ses tentatives ne durait pas plus de deux heures. Je pense que jamais je n'arriverais à me séparer de cette maison, c'est la seule chose qui me raccroche encore à mes parents.

    • Et je vais prendre la chambre des parents avec Gwenn et son cousin prendra ma chambre. Et ne discute pas, c'est moi qui décide.

    • Tu ne peux pas me faire ça !

    • Si je le peux, et tu vas vivre avec !

    • Si tu la laisse venir ici, je ferais toute les bêtises possible.

    • Non, maintenant tu vas m'écouter. Tu ne sortiras plus. Je vais mettre des barreaux sur ta fenêtre et je vais changer les clés de toutes les portes.

    Sur ses mots il est sortis en claquant la porte.

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 30 Août 2013 à 10:31

    Cool une fiction!

    Je vais lire de suite! :P

    Je ne m'y connais pas encore beaucoup alors comment fait on pour être prévenue des nouveautés, des nouveaux articles? =)

    2
    Vendredi 30 Août 2013 à 11:17

    J'ai lu les deux chapitres~

    J'aime, ça m'a l'air intéressant. Pour le moment je ne vois pas le rapport avec le titre mais c'est le début il faut bien que ça démarre! ^-^

    Il y a des fautes ou des oublis genre de lettre parfois, et au niveau des dialogues tu ne devrais pas faire par exemple "il dit", mais par exemple dit il...

    Moi je raconte plus au passé simple tout ça, mais sinon au présent c'est bien aussi. ^-^

    C'est un peu maladroit et difficile parfois au niveau de la description de ce que font les personnages, mais dans l'ensemble j'aime bien et j'ai hâte de lire la suite! =)

    Donc bonne continuation si la fiction est en cours d'écriture! ^-^

    3
    Vendredi 30 Août 2013 à 21:35

    tu met mon compte > nitifications > Arcicle suivis, sujet suivis ... et tu coche. 

    Je crois que c'est ça.

    4
    Vendredi 30 Août 2013 à 21:54

    Oui c'est vrai que pour l'instant il n'y pas de rapport avec le titre mais c'est normal.

    5
    Lundi 2 Septembre 2013 à 16:41

    Oui. ^-^

    Hâte de lire la suite, elle est déjà écrite ou tu viens de commencer? =)

     

    Okay merci du renseignement. ^^

    6
    Lundi 2 Septembre 2013 à 16:56

    elle n'est pas encor écrite je vais commencer

    7
    Mardi 3 Septembre 2013 à 11:38

    D'accord! ^-^

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